« Des finances en demi-teinte | Accueil | Les naufragés du Noos et l’avenir du câble (1) »

05 mars 2007

Commentaires

Flux Vous pouvez suivre cette conversation en vous abonnant au flux des commentaires de cette note.

Bonjour,

pour votre information si vous souhaitez découvrir le Pavillon de Musique nous organisons des visites guidées et des concerts. Le programme est disponible sur notre site Internet : www.marlyleroi-tourisme.fr

Bonjour,
j'ai pris connaissance de votre site dans le dernier Louveciennes Echos. Pourquoi indiquez vous en entête "média indépendant" alors qu'en réalité vous êtes le média d'un groupe d'opposition municipal. N'y aurait-il pas tromperie dans votre affichage ?

A l’attention de Pierre

Il y a confusion car notre blog n’est absolument pas cité dans le dernier numéro de « Louveciennnes-Echos » (janvier 2007), ni d’ailleurs dans les numéros précédents.
Nous confirmons, si besoin est, que nous ne sommes pas le média « d’un groupe d’opposition municipal ».
Nous nous intéressons bien entendu aux affaires de la cité (*) mais avec une approche qui se veut avant tout factuelle et objective, sans esprit partisan.
Il nous arrive d’exprimer nos préférences en soutenant par exemple le beau projet de l’association Racine relatif à « l’allée Saint-Joseph » qui n’a pas été retenu par l’équipe municipale en place ; nous avons également traité du dossier de « la zone 30 » qui en revanche a été mis en application par la municipalité début mars, action que nous saluons.
Comme tout lecteur, vous avez la possibilité de nous envoyer vos commentaires sur tel ou tel sujet qui vous semble insuffisamment ou mal analysé. Vos commentaires seront repris in extenso.

(*) Politique = du grec politikos « de la cité »

A l'issue de l'Assemblée générale du Comité de Jumelage de Louveciennes (31mars 2007), M. Roger Cardon a donné une très intéressante conférence sur le thème de l' "Histoire du Pavillon de musique de la comtesse du Barry".

A l’attention de Pierre
Mea culpa. Nous venons de trouver dans notre boîte aux lettres (ce jeudi 5 avril) le dernier numéro de « Louveciennes-Echos »
(n° 20) dans lequel, effectivement, l’adresse de notre blog « La Tribune de Louveciennes » est citée par le groupe municipal,
« Objectif de Louveciennes ».
Nous préciserons que nous n’avons pas sollicité cette « publicité » mais que nous l’acceptons bien volontiers.
Nous persistons à dire et à redire que nous sommes « indépendants » de tout mouvement ou groupe politique. Cette position n’est pas toujours facile à admettre car toute personne « engagée » a trop tendance à penser que « si vous n’êtes pas avec moi, vous êtes contre moi ».
Nous continuerons à aborder tous les sujets susceptibles d’intéresser les habitants de Louveciennes et de ses environs, sans a priori, et en essayant de publier des articles documentés. Bien entendu, nos commentaires expriment un point de vue, une sensibilité, des préférences mais nous avons toujours accueilli ici, sans censure, toutes les positions. N’hésitez pas à vous exprimer !

Lu dans le Point (jeudi 21 juin 2007)
Entretien avec Benedetta Craveri, grande historienne italienne, auteur de « Reines et favorites : le pouvoir des femmes » (Gallimard)
Extraits

Le Point : De toutes ces femmes, quelle fut la plus honnie ?

Benedetta Craveri : Sans doute Mme du Barry, née Jeanne Bécu, prostituée de haut vol connue sous le nom de Mlle Lange, ou mieux encore, l’Ange. D’une exceptionnelle beauté (« une poitrine à contrarier le monde » écrit le prince de Ligne), c’était à 20 ans une courtisane accomplie aux manières exquises. Venue du peuple, elle était passée directement au monde des grands financiers et de la grande noblesse où se recrutaient ses clients, échappant au mauvais ton de la bourgeoisie dont Mme de Pompadour, selon Talleyrand, n’avait pas totalement su s’en déprendre. Son goût était parfait, ses choix artistiques aussi, et Louis XV, sexagénaire en tomba amoureux. Je crois qu’elle l’aimait et n’avait d’autre souci que la joie de vivre. Elle fut chassée, envoyée au couvent, puis autorisée à regagner sa propriété de Louveciennes où elle créa une utopie champêtre qu’elle menait en vrai philanthrope, adepte des idées rousseauistes. Elle continua à recevoir les visiteurs les plus illustres, jusqu’à l’empereur Joseph II, venu à Versailles vérifier ce qui se passait (ou pas) dans le lit de sa sœur Marie-Antoinette et de son beau-frère. Reste qu’elle avait déchaîné des haines incoercibles : les « Anecdotes sur Mme la comtesse du Barry », un livre clandestin publié juste après la mort de Louis XV, est le best-seller absolu de ce genre de littérature au XVIIIème siècle. Professionnelle de l’amour, quelles que soient ses qualité, elle apparaissait l’incarnation de tous les vices, la preuve évidente de la déchéance d’un tyran qui, dès lors, ne pouvait plus être considéré « ni comme un père, ni comme une figure divine ». A l’hiver 1793 , cela lui valut la guillotine.

Le pavillon de musique de la comtesse du Barry, décor du calendrier 2008 des rugbymen français.
En avance su l'année mais parfaitement synchrone avec le démarrage de la Coupe du monde, le calendrier "Les Dieux du stade 2008" sort en librairies et maisons de presse cette semaine.
Pour cette huitième édition, les photos (plus d'une trentaine) qui mettent en scène la plastique de nos rugbymen sont dues à Steven Klein, photographe new-yorkais.
On espère dépasser les 200 000 exemplaires vendus l'an dernier ; il est vrai que certaines photos relativement sulfureuses, si l'on en juge d'après les premiers clichés diffusés par la presse, devraient y contribuer.

L'utilisation des commentaires est désactivée pour cette note.

février 2023

lun. mar. mer. jeu. ven. sam. dim.
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28          
Twitter_bird

Retrouvez-nous sur Facebook