Marie-Dominique Parisot, ancienne Directrice générale des services de la commune, se présente à la tête de la liste « Vivre à Louveciennes ». Comme pour les autres candidats, nous l’avons interrogée sur les dossiers brûlants de la commune et notamment sur le PLU et la loi SRU, le sort de l’opération immobilière de l’Aqueduc, le dispositif « Site patrimonial remarquable », l’avenir de Villevert, l’état des finances et les impôts locaux, les deux maisons médicales, la circulation et le stationnement, la sécurité.
En raison de la longueur de l’entretien, nous avons été conduits à présenter le résultat sous la forme de deux articles.
(Marie-Dominique Parisot, Photo PJDC)
La Tribune de Louveciennes_Vous avez été de longues années durant Directrice générale des services à Marly-le-Roi puis à Louveciennes. Comment concevez-vous ce passage d’une situation de fonctionnaire de rang certes élevé à celui, si vous êtes élu, de maire qui est de nature plus politique ?
Marie-Dominique Parisot_ Pour moi c’est très clair. Lorsque j’étais Directrice générale des services (DGS), j’étais une fonctionnaire, une administrative, le bras droit des maires pour l’application de leur politique et de leur programme. J’avais la responsabilité de les mettre en œuvre en plus de la gestion quotidienne de la Mairie.
Aujourd’hui je me présente pour occuper les fonctions de maire. C’est totalement différent. Il y a actuellement une DGS de la Mairie de Louveciennes, je n’envisage absolument pas de prendre sa place, je sais tous les services qu’elle peut rendre, je connais parfaitement l’étendue de ses missions.
La fonction de maire est d’être un chef d’orchestre, un animateur d’une équipe élue par les Louveciennois pour réaliser le programme sur lequel elle s’est engagée.
Ce programme s’étale sur 6 ans, nous pourrons tout à fait le compléter, le réajuster, en fonction de l’évolution de la situation au plus près des attentes des Louveciennois.
En tant que maire, j’aurai une fonction beaucoup plus d’animation même si le maire est également chef de l’Administration communale. Il a une double casquette.
Il est responsable hiérarchique des agents de la mairie. Il est responsable de l’animation d’une équipe d’élus.
Mon travail sera de coordonner, d’établir des rapports de confiance constructifs pour que tout le monde puisse travailler en parfaite harmonie et que notre programme soit réalisé dans les meilleures conditions.
En ce qui me concerne, j’ai l’intention de travailler en équipe et les délégations ne seront pas données par hasard. Elles seront conditionnées à l’expertise de chacun dans le domaine d’intervention qui lui sera confié.
Au-delà des maires-adjoints, il y aura de nombreux conseillers municipaux qui auront eux-mêmes une délégation en rapport avec leur savoir ou leur engagement associatif.
En plus de moi-même, 28 personnes participent à la liste, elles sont enthousiastes et croient au projet.
Les personnes qui ne seront pas élues, je ne compte pas les laisser sur la touche. Il n’y a pas seulement le conseil municipal, il y a les commissions, les commissions extra-municipales, les conseils de quartiers, les associations qui ont des fonctions très importantes sur la commune et je compte leur proposer d’y participer. De plus, avant chaque conseil municipal, je compte les réunir pour les entretenir sur l’état d’avancement des projets auxquels ils ont participé.
TL_ Beaucoup d’observateurs s’attendaient à ce que votre liste fasse liste commune avec celle de La République En Marche(LREM). Qu’est-ce qui vous différencie ? S’agit-il d’un problème de fond ou simplement d’un problème de personnes ?
MDP _Nous avions envisagé depuis début 2019 une liste d’union. Nous avions mis en place des groupes de travail thématiques auxquels nous avions convié tous les Louveciennois intéressés et parmi elles des personnes pressenties pour rejoindre une liste d’union. Une personne de La République En Marche (LREM) participait au groupe que j’animais.
Nous avons cheminé comme cela jusqu’au mois de septembre 2019. Nous avons alors décidé de nous organiser pour la campagne.
Avec Murielle Charles-Beretti nous nous sommes rencontrées à plusieurs reprises. Nous n’avons pas trouvé d’accord sur une liste d’union car je refusais que notre liste soit « étiquetée » LREM.
LREM a souhaité prendre une autre orientation.et a donné son investiture à une personne appartenant au mouvement pour conduire la liste d’union.
Dans ces conditions j’ai décidé de constituer une liste ouverte aux Louveciennois de toutes sensibilités politiques, hors les extrêmes, qui souhaitaient s’impliquer pour leur commune.
Je veux être totalement indépendante de tout groupe politique. Je n’ai reçu aucune investiture, celle-ci n’étant attribuée qu’à des personnes affiliées à un parti. Si parmi mes colistiers certains ont obtenu le soutien de leur parti d’origine, ces soutiens n’engagent en rien notre liste. Je me centre sur les enjeux locaux, il y a suffisamment à faire. Je veux être libre et disponible pour gérer les problèmes de Louveciennes et je pense que je suis légitime à conduire une liste, compte tenu de mes compétences et de ma connaissance des dossiers.
Les valeurs de notre liste sont celles du centre et de la droite.
Sur la question d’une éventuelle fusion de listes au second tour, je suis actuellement dans la préparation du premier tour. Je ne suis fermée à aucune hypothèse mais aujourd'hui ce n’est pas d’actualité. Il faut laisser les Louveciennois s’exprimer et voir comment ils perçoivent nos listes, nos projets, c’est à eux de choisir.
TL_Votre liste a pour ambition de l’emporter et d’être une réelle alternative à l’équipe du maire sortant. Quels sont vos principaux désaccords avec les réalisations, les projets, les pratiques de l’équipe de Pierre-François Viard ?
MDP_Des désaccords avec les orientations prises par Monsieur Viard existent dans différents domaines.
Désaccord sur les finances. L’augmentation de 12% des impôts en 2016 résulte d’une mauvaise appréciation des recettes (recettes fiscales sur les Plains Champs, attribution de compensation versée par la Communauté d'Agglomération). Nous étions dans une période de transition, il y a eu un affolement, cette augmentation massive aurait parfaitement pu être évitée.
Désaccord sur le programme immobilier de l’Aqueduc, le manque de concertation avec l’environnement et la façon dont les choses se sont passées. Il est difficile de conduire une opération immobilière d’envergure et je ne méconnais pas les exigences de la loi SRU. Mais la concertation aurait pu permettre de trouver un projet acceptable pour les riverains et respectueux de l’environnement.
Désaccord sur la communication. Le magazine « Louveciennes Echos » ne répond absolument pas aux attentes des Louveciennois, les articles parlent essentiellement du maire mis en avant, il n’est pas question de la vie locale, des commerçants, des artisans, du budget alors même que l’on peut parfaitement intéresser les lecteurs avec une présentation fonctionnelle des comptes.
Désaccord sur les méthodes de concertation, par exemple sur la cantine sans plastique, ce n’est pas du tout la concertation mais la pression des parents qui a conduit à la modification de l’appel d’offres alors que le maire a voulu jusqu’au bout imposer une liaison froide et une délégation de service public.
La commission extra-municipale sur Villevert est un deuxième exemple, elle s’est réunie trois fois et n’a pas été consultée avant l’approbation du Plan local d’urbanisme (PLU) qui comportait des choix importants pour le site.
Le troisième exemple a trait au skate parc ; alors que l’on consultait les Louveciennois, l’affaire était confiée à un bureau d’études.
Ce n’est pas ma conception de la concertation. On doit avancer avec les Louveciennois qui sont capables de comprendre. Il est rare qu’une décision fasse l’unanimité mais on se doit de l’expliquer.
Désaccord sur les pratiques. Au fil de mes expériences, j’ai vu, en mairie, d’autres modes de fonctionnement plus simples dans une meilleure ambiance.
TL_Le Plan local d’urbanisme (PLU) révisé voté en décembre 2017 prévoit 1.070 logements supplémentaires dont 565 logements sociaux d’ici 2025, 620 logements sociaux d’ici 2030. Comment respecter la loi SRU pour éviter d’être carencé sans aboutir à une densification excessive engendrant de multiples problèmes ?
MDP_J’ai fait les comptes, à la date d’aujourd’hui, il nous manque 300 logements sociaux pour satisfaire à la loi SRU compte tenu des opérations réalisées ou en cours. A ces 300 logements il faut ajouter une dizaine de logements sociaux supplémentaires liés à la réalisation par des particuliers et sur l’ensemble de Louveciennes, d’environ 40 logements sur les 5 ans à venir.
Je suis partisane d’un Site Patrimonial Remarquable (SPR) qui protégera les éléments les plus intéressants de notre patrimoine bâti et paysager.
Nous devons avancer rapidement sur le sujet. Il y a, dans mon équipe, une personne très expérimentée et qui sera en charge de cette compétence.
Il y aura un diagnostic, nous travaillerons avec les services de l’Etat, avec l’Architecte des bâtiments de France (ABF), les services de la Région,… pour définir un périmètre pertinent. A partir de là, nous saurons ce que nous pourrons faire et ne pas faire. Il est probable que cela ira dans le sens d’une dé-densification des « orientations d’aménagement et de programmation » (OAP) du PLU. J’attends de savoir, je ne peux pas anticiper les résultats d’une étude qui n’a pas encore démarré.
TL_ Où pourra-t-on réaliser les logements sociaux manquants ?
MDP_Nous profiterons de toutes les opportunités offertes dans la commune pour réaliser de petites opérations bien intégrées, nous serons vigilants sur la vente de maisons divisibles, en préservant les propriétés caractéristiques de Louveciennes. Si nous avons la possibilité d’acquérir des propriétés pour les transformer en logements sociaux, nous le ferons.
Du temps où j’étais DGS j’ai été directement associée à ces petites opérations de logements sociaux (Pharmacie du Barry, immeuble de l’Agence Arbeau en centre-ville, petit immeuble rue Saint Michel). La résidence de personnes âgées Montbuisson, actuellement vide, pourrait être transformée et produire entre 20/30 logements sociaux.
Reste la question des 63 logements sociaux du programme immobilier Aqueduc dont le permis de construire a été annulé par le Tribunal administratif de Versailles. Ils figuraient dans deux plans triennaux (2014-2016, 2017-2019). Je ne sais pas comment l’Etat va les traiter. Si l’Etat les considère comme annulés, nous ne sommes pas à l’abri d’une carence. Je ne déposerai pas un nouveau permis identique au précédent d’autant plus que le secteur du Cœur-Volant où se situe l’aqueduc, sera de toute évidence, dans le périmètre du futur SPR.
Pour le prochain plan triennal (2020-2022), rien n’a été anticipé, j’estime que notre obligation va porter sur 110/130 logements (nous avons seulement un excédent d’environ 30 logements issus du programme Plains Champs).
J’ai pensé également au site de Villevert mais sous la forme d’un quartier mixte comportant des logements sociaux et des logements privés.
Le Maire a toujours soutenu le nombre de 350 logements. Réaliser 350 logements, sur ce site excentré, c’est s’exposer à des allers-retours permanents de véhicules avec le centre-ville.
Un programme de 350 logements sur ce site n’a aucune chance d’aboutir.
Dans son avis sur le PLU, le préfet, au nom de l’Etat, a demandé 600 logements, comme d’ailleurs le propriétaire du site (Unibail-Rodamco-Westfield). Ce dernier considère en effet, qu’avec 350 logements, le bilan financier du programme n’est pas équilibré.
Je rappelle qu’il s’agit d’une parcelle privée. Si la Commune décide des droits à bâtir, le propriétaire n’a pas l’obligation de construire, il peut différer, à sa guise, la réalisation du projet et il a les moyens d’assurer un portage financier du terrain sur des années. Par ailleurs le Département et la Communauté d’Agglomération qui seront des partenaires financiers sur cette opération, n’y sont eux-mêmes pas favorables.
Nous avons besoin du site de Villevert pour soulager l’urbanisme sur le reste de la commune.
Je cherche une solution qui pourrait satisfaire à la loi SRU, l’interpréter intelligemment, dégager des marges de manœuvres pour ne pas détruire la ville. Le SPR est une servitude publique qui s’impose à l’Etat. S’il n’y avait pas eu l’obligation de réaliser 25% de logements sociaux, comme l’impose à l’horizon 2025 la loi SRU, nous aurions eu une urbanisation progressive et harmonieuse de Louveciennes. Notre ambition très forte est de protéger notre cadre de vie, mais les solutions ne seront pas faciles pour tendre vers l’objectif fixé par la loi.
TL_L’urbanisation de Villevert semble à l’arrêt. Le PLU voté en décembre 2017, malgré les avis défavorables de l’Etat et du Département pour Villevert, a clairement défini les choix de la commune en matière économique (centre commercial, bureaux, hôtel,…) et en matière de logements (avec notamment les 350 logements prévus dont 60 % de sociaux). Validez-vous ces choix ?
MDP_La double vocation du site, activités habitation qui permet l’inversion des flux de véhicules est indispensable. pour des raisons d’accès au site depuis la RN 186.
Nous préconisons la création d’un quartier exemplaire au plan de la qualité du bâti, de l’environnement, de la biodiversité, de la gestion des espaces aquatiques prévus sur le site et des moyens de transport mis en place pour assurer sa desserte. La réalisation d’un quartier, avec des équipements publics de proximité (école, centre de loisirs,…) est la seule solution pour limiter les flux de véhicules entre Villevert et le centre-ville où sont aujourd’hui concentrés ces équipements.
Nous préconisons de faire un quartier le plus autonome possible tout en n’en faisant pas un quartier totalement isolé. Un quartier d’environ 600 logements qui donne la possibilité d’y réaliser des équipements.
Il ne faut pas le réaliser en deux temps, comme certains le suggèrent, car on se prive alors du financement global des équipements publics indispensables, à la charge des porteurs du projet. L’intérêt est de dimensionner dès maintenant le programme dans sa version définitive même si sa réalisation s’étalera sur plusieurs années. Ce quartier, pourrait participer au rattrapage de notre déficit en logements sociaux en en comportant un pourcentage significatif, avec des résidences dédiées pour éviter l’étalement et répondre aux besoins de petits logements insuffisants sur Louveciennes.
Le site de Villevert accueillera aussi des activités économiques (bureaux, commerces, restaurants, hôtel, offre de loisirs, activités de service, etc.), offrant ainsi des emplois de proximité aux Louveciennois. Il permettra également d’y installer la pépinière d’entreprises, d’y adosser un hôtel d’entreprises et des espaces de coworking.
L’un des problèmes de Villevert est celui de sa desserte. Nous avons identifié un trajet qui permet l’accès direct depuis ce site à la gare de Bougival en empruntant un chemin rural communal. Ce trajet serait strictement réservé aux liaisons douces et emprunté par une navette électrique qui assurera les transports en commun ; il n’y aura alors aucun intérêt à venir prendre le train à la gare de Louveciennes.
Nous proposons également l’augmentation de la fréquence de la ligne express1 et la mise en place d’une ligne rapide en diminuant le nombre de points d’arrêts pour gagner la gare de Versailles Chantiers qui dessert la Gare Montparnasse.
L’accès au site est d’une résolution difficile. Il n’y a pas de bretelle possible sur l’autoroute selon la Direction des Routes de l’Ile-de-France (DiRIF).
Il reste le point d’accès actuel, aménagé-selon les informations recueillies auprès de la société Unibail-Rodamco-Westfield - avec laquelle je suis en contact - sous la forme d’un grand rond-point sur la RN186 mais cet ouvrage ne résoudra pas tous les problèmes. Ce dossier est en cours d’étude.
TL_ Quelle est votre position sur l’idée d’étudier la fusion de Louveciennes avec une commune comme Le Port Marly certes moins riche mais qui satisfait aux obligations de la loi SRU et même au-delà. Une fusion favoriserait également une meilleure utilisation des services.
MDP_Aujourd’hui la fusion n’est pas d’actualité, elle ne répond pas à un souhait exprimé par les Louveciennois. Elle n’est pas dans notre projet mais elle appelle notre vigilance
Il y a déjà eu des projets de fusion entre des communes mitoyennes, essentiellement pour gérer au mieux les obligations de la loi SRU. Je sais également qu’il y a des fusions qui ne se sont pas faites parce que précisément les communes candidates devaient préalablement disposer des 25 % de logements sociaux.
Je suis ouverte à des relations étroites avec les communes environnantes dont bien entendu Le Port-Marly, commune largement équipée en logements sociaux mais qui s’oriente aujourd’hui vers un rééquilibrage de sa population. J’ai moi-même travaillé dans le cadre de la Communauté des Coteaux de Seine (avec Bougival et La Celle Saint-Cloud) et nous avons mené ensemble d’excellents projets.
Maintenant, si les communes environnantes engagent une réflexion sur ce thème, nous ne serons pas en retrait pour ne pas prendre le risque de devoir au dernier moment négocier la fusion avec une nouvelle commune dans des conditions qui seraient pénalisantes pour Louveciennes. Sur cette question importante, si la situation se présente, les Louveciennois seront associés et décideront.
Dès maintenant, on peut parfaitement imaginer, sans aller jusqu’à une fusion, une mutualisation des moyens avec d’autres communes, moyens juridiques, moyens matériels, appels d’offres communs, etc. qui bénéficiera, sans aucun doute, aux finances de la commune. C’est un mode de gestion que je privilégierai pour contenir l’évolution des dépenses.
Avec une telle expérience, la maîtrise des sujets est remarquable et c'est une véritable opportunité pour Louveciennes, qui en a bien besoin: peu de communes ont cette chance d'avoir une directrice exemplaire ayant exercé aussi dans d'autres communes et qui propose une fois disponible de continuer à travailler pour elle en tant que Maire ! Les messages sont clairs et l'enthousiasme perceptible. Bravo pour cette candidature !
Rédigé par : Philippe Jacques | 03 mars 2020 à 18:40
"Ethique et compétence": c'est l'étiquette de Mme Parisot pour sa candidature; ceux qui la connaissent bien trouvent que ces qualificatifs lui vont très bien...Mieux encore: ils s'emboîtent parfaitement dans les failles majeures de la mandature du maire actuel, pour ceux qui le connaissent bien!
Rédigé par : AMAR yann | 05 mars 2020 à 09:20
600 logements à Villevert... Cela veut donc dire au bas mot un millier de voitures supplémentaires sur la commune, qui s'ajouteront au transit supplémentaire de et vers les établissements commerciaux et autres qui y seront créés. Mme Parisot argumente cette position en parlant de quartier "le plus autonome possible". Il va falloir quand même démontrer assez vite comment cela ne se traduira pas par un engorgement encore plus important du centre-ville avec toutes les nuisances qui vont avec.
Rédigé par : Pascal | 06 mars 2020 à 09:22
@ Pascal
Le but est qu'il ait le maximum de commerces sur place (il y a 24 hectares) afin de limiter la circulation vers le centre-ville de Louveciennes ainsi que vers les centres commerciaux.
Je suppose que l'accès à Villevert sera amélioré pour mieux fluidifier la circulation.
Rédigé par : Vincent | 06 mars 2020 à 14:28
@ Pascal
Ces logements supplémentaires se feront de toute manière dans des zones périphériques de la commune et engendreront de toute façon des trajets en voiture (plain champs, acqueduc, coeur Volant ...).
Je pense comme Madame Parisot qu'il vaut mieux les réaliser sur un quartier neuf et autonome plutôt que de défigurer morceau par morceau ce qui reste encore de beau et de naturel à Louveciennes.
C'est ce qu'avait promis Mr Viard. Une promesse de plus non tenue.
Rédigé par : Augustin | 06 mars 2020 à 18:55