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13 juillet 2023

Commentaires

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Georges

Trop classique, trop conventionnel
On voit que l’auteur d e cette liste ne va pas souvent au cinema, au moins récemment

Cinéphile passionné


Bien sûr qu’il y a des oublis majeurs. Casablanca avec Ingrid Bergman et HumphreyBogart. Les films de Christopher Nolan en particlier Inception, The Dark Knight, Interstellar, Dunkerque, j’attends avec impatience son nouveau film Oppenheimer. Et j’en oublie. L’empire contre-attaque de la série Star War par exmple

Hubert

Liste intéressante mais j’ajouterai bien volontiers La nuit des chasseurs de Laughton, son unique film avec un Robert Mitchum très inquiétant, Le troisième homme de Carol Reed avec l’immense acteur Orson Welles, En quatrième vitesse de Bob Aldrich, Charade de Stanley Donen avec l’indémodable Audrey Hepburn…. Quand on commence il est difficle de s’arrêter. Je pense que tout cinéphile qui se respecte à des tas de suggestions à faire.

Movie Lover

Multipliez les images !! Faites nous rêver !!

La rédaction/FK

Merci pour le conseil. Nous sommes en train d'insérer de nouvelles images mais que les choix sont difficiles !

Une daube

Non Jeanne Dielman n'est pas un chef d'oeuvre. Au nom du féminisme on veut faire passer une daube. Je n'ai vu que des extraits mais voir la sublime Delphine Seyrig peler des pommes de terre durant de longues minutes c'est au-dessus de mes forces!

Jérôme K

La liste me paraît globalement intéressante m^me si pour certains réalisateurs j'aurai choisi d'autres oeuvres.
Pour les plus anciens, on retrouve les films estampillés "chef d'oeuvre digne du cinéma arts et essais", dans les années 70 80 les cinéastes du Nouvel Hollywood, les Coppolla, Scorcese...., l'incontournable Kubrick, les frères Coen, Malick
Quelques bonnes pioches qui rencontrent les miennes : Comme un torrent de Minelli que j'aime beaucoup avec la merveilleuse Shirley Mac Lane, Splendeur in the Grass avec Nathalie Wood,le Mud de Jeff Nichols, merveilleux film initiatique

amar yann

Déçu de ne pas trouver 2 Zinnemann: le train sifflera 3 fois / Tant qu'il y aura des hommes...
Mais chacun voit midi à sa liste...

La rédaction/FK

Nous venons d'ajouter des photos illustrant l'ensemble des films cités. Là aussi il a fallu faire des choix. Par ailleurs comme elles ont été choisies sur internet, les possibilités étaient souvent limitées. Ainsi nous aurions aimé pour "Elephant" retenir une photo montrant le moment où l'élève blond croise deux autres élèves lourdement chargés qui vont commettre le massacre de Columbine. Nous espérons néanmoins que ces photos vont faire remonter auprès des lecteurs des images de films que nous avons tant aimés.

F

Je viens de visionner sur la chaîne MyCanal le film d’Elia Kazan « L’arrangement ». Sorti en 1969 il s’agit d’un film bien étrange, « impur » comme l’a qualifié un critique. C’est l’histoire d’Eddie Anderson (Kirk Douglas), la quarantaine, publicitaire à succès notamment grâce à une campagne pour une marque de cigarettes Zephir. Il vit dans une belle et grande demeure de la banlieue de Los Angeles avec sa femme Florence (Deborah Kerr) qu’il trompe allègrement, et plus particulièrement avec Gwen (Faye Dunaway). Il subit ou plutôt provoque un accident de voiture ce qui le conduit à mettre en question le sens de son existence (sa réussite professionnelle, son bonheur de façade,.). S’ensuit un véritable tourbillon que la mise en scène parfois frénétique embrouille. On passe sans transition du présent au passé. Eddie a cessé de travailler, il revoit Gwen au lit, veut se marier avec elle mais elle refuse. Elle a un adorable jeune enfant mais ne pense pas qu’il soit l’oeuvre d’Eddie, elle « a fait le calcul » (on ne parlait pas encore à l’époque de test d’Adn). De nombreuses séquences sont consacrées à la relation tumultueuse d’Eddie avec son père (passion/haine), aux tentatives de Florence, toujours aimante, entourée de son avocat, de son psychiatre, pour le reconquérir, malgré ses foucades, ses écarts de conduite. Rien n’y fait. Il veut se retirer du monde, ne plus rien faire, simplement être. La fin du parcours sera l’hôpital psychiatrique.
Ce film n’entre pas nécessairement dans mes Films préférés mais il mérite d’être vu. La distribution est époustouflante avec un Kirk Douglas étonnant (pour qui ne l’a vu que dans les Vikings ou le Spartacus de Kubrick), une Deborah Kerr en bourgeoise trompée mais qui veut maintenir avant tout les apparences, une Faye Dunaway en femme libre, avec ses amants et un fidèle compagnon qui accepte la situation et la protège sans oublier Richard Boone en père volcanique, un macho avant le féminisme triomphant.

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