Derniers volets de notre série.
Les films asiatiques avec les japonais Kurosawa, Mizoguchi, Ozu sans oublier Miyazaki, avec le hongkongais Wong Kar-waï, avec la néo-zélandaise, l’incomparable Jane Campion, palme d’or à Cannes pour La Leçon de Piano et qui l’aurait mérité pour Bright Star en 2009 (en même temps que le Ruban Blanc d’Hannecke). Pour le moment un seul film africain apparaît dans cette liste, mais il y en aura d’autres, le tragique Timbuktu. Et cette énumération serait incomplète si on oubliait de citer la fracassante émergence des cinémas turcs et iraniens.
Nos films préférés : Asie - Afrique - Moyen Orient - Australie/NZ classés selon leur date de sortie
« 羅生門 Rashōmon » (1950) de Akira Kurosawa.
«東京物語 Tōkyō monogatari» (Voyage à Tokyo) (1953) de Yasujirō Ozu.
« 雨月物語, Ugetsu monogatari » (Les contes de la lune vague après la pluie) (1963) de Kenji Mizoguchi.
« The Piano » (La leçon de piano) (1993) de Jane Campion avec Holly Hunter, Harvey Keitel.
« Fa yeung nin wa » (In the Mood for Love) (2000) de Wong Kar-Wai avec Maggie Cheung, Tony Leung Chiu-wai, Siu Ping-lam.
« 千と千尋の神隠し, Sen to Chihiro no kamikakushi » (Le Voyage de Chihiro) (2001) de Hayao Miyazaki produit par le studio Ghibli.
« Bright Star » (2009) de Jane Campion avec Brn Whishaw, Abbie Cornish.
« جدایی نادر از سیمین, Djodāï-yé Nāder az Simin » (Une Séparation) (2011) de Asghar Farhadi avec Peyman Maadi et Leyla Hatami.
« Timbuktu » (2014) d’Abderrahmane Sissoko.
« Chun jiang shui nuan » (Séjour dans les monts Fuchun) (2020) de Gu Xiaogang avec Zhenyang Dong, Hongjun Du, Wei Mu.
(Cette liste est susceptible d'être complétée.)